Conclusions de la Présidente
- Les crimes de haine ne visent pas seulement des groupes spécifiques mais mettent en danger la cohésion sociale de nos sociétés. Ils nous affectent tous.
- Pour lutter efficacement contre les crimes de haine, il est évident que la participation et l'engagement d'un large éventail d'acteurs, en plus des pouvoirs publics, sont nécessaires.
- Il est essentiel de s'assurer que des mesures appropriées sont prises pour garantir la participation active de la société civile dans la mise en œuvre de mesures visant à combattre ces crimes particulièrement graves.
- Le rôle de la société civile est essentiel pour soutenir les autorités et combler les lacunes dans un certain nombre de domaines, tels que la collecte et le suivi des données sur les crimes de haine, l'assistance aux victimes, les litiges stratégiques et l'expertise législative.
- Les ONG et les institutions nationales des droits de l'homme sont également des parties prenantes et des partenaires essentiels des activités du Conseil de l'Europe. Ceci est particulièrement pertinent au vu des travaux du Comité intergouvernemental d'experts qui sera chargé de préparer une recommandation globale du Comité des Ministres sur la lutte contre les crimes de haine.