Strasbourg, 8 novembre 2017

Le Conseil de l’Europe s’associe aux grandes sociétés technologiques pour promouvoir le respect des droits de l’homme

CITATIONS

Thomas Myrup Kristensen, directeur général chargé des affaires européennes, chef du bureau de Bruxelles, Facebook

« Nous nous félicitons de cette occasion de collaborer avec le Conseil de l’Europe sur l’étape suivante son travail d’avant-garde concernant les droits de l’homme, la démocratie et l’état de droit sur Internet ».

Marco Pancini, Directeur des politiques publiques, Google:

« Nous sommes heureux de participer à ce forum important et de poursuivre le dialogue ouvert et honnête nécessaire pour assurer un Web libre et ouvert, qui garantisse le respect du droit à la vie privée des usagers, le libre accès à l’information et une protection contre les abus susceptibles de menacer ces libertés ».

Anton Chingarev, Vice-président chargé des relations avec les pouvoirs publics, Kaspersky Lab:

« Internet est un domaine unique ‑ un lieu où nous nous rendons tous les jours pour consulter les informations et les médias sociaux ; préparer nos congés, y faire nos courses et réaliser des opérations de banque en ligne. Chaque jour, nous y laissons une importante trace numérique. Cependant, cet espace unique est gravement menacé aujourd’hui : des cybercriminels tentent de l’exploiter à leur profit, des terroristes l’utilisent pour recruter des partisans, et les pouvoirs publics s’efforcent de le réglementer. Nous sommes heureux d’être partenaires du Conseil de l’Europe pour rendre Internet plus sûr – de façon que nous tous, nous puissions continuer de bénéficier pleinement de nos activités en ligne ».

Cecilia Bonefeld-Dahl, Directrice générale, DIGITALEUROPE :

« 79% des Européens utilisent régulièrement Internet. Les technologies numériques ont profondément modifié le mode de fonctionnement de la société et de l’économie. DIGITALEUROPE, qui représente plus de 25 000 sociétés de toute taille œuvrant dans différents domaines des technologies numériques, est attachée à bâtir un environnement numérique fondé sur les valeurs communes qui régissent le monde hors ligne : sécurité et respect des droits fondamentaux et de la diversité ».

Afke Schaart, vice-présidente chargée de l’Europe, GSM Association (GSMA) :

« Le développement du secteur de la téléphonie mobile est lié à l’évolution des services et des dispositifs rendus possibles par Internet. C’est pourquoi, les décisions sur l’usage, la gestion et la régulation d’Internet concernent les fournisseurs de services mobiles et leurs clients. Nous sommes convaincus qu’aucune institution ou mécanisme ne peut ni ne devrait à lui seul diriger Internet et que le modèle multipartite rendu possible par la collaboration entre les autorités, les entreprises du secteur et d’autres groupes d’acteurs, devrait être préservé et pouvoir s’adapter si nécessaire. Nous sommes donc heureux que le Conseil de l’Europe mette en place une plateforme pour faciliter la collaboration entre les gouvernements, les grandes sociétés et les associations d’Internet dans le domaine des droits de l’homme et de l’état de droit en ligne. Nous avons le plaisir de confirmer notre volonté de collaborer pour renforcer le dialogue et rechercher des moyens d’assurer le respect des droits de l’homme et des libertés fondamentales des usagers d’Internet ».

Judith Lichtenberg, directrice exécutive, Global Network Initiative (GNI):

« En instituant un partenariat de cette nature, le Conseil de l’Europe contribue au dialogue entre les Etats, les entreprises et la société civile pour traiter les grands problèmes liés aux droits du numérique à l’échelle mondiale auxquels tous les pays sont confrontés. La participation de l’alliance unique de nombreux acteurs que constitue la GNI – sociétés, universitaires, investisseurs et organisations de la société civile – encouragera un large débat, approfondi et continu, sur les droits de l’homme à l’époque du numérique ».


Thimotheus Höttges, PDG, Deutsche Telekom :

« Notre monde devient de plus en plus complexe. Je pense qu’une collaboration étroite entre les sociétés de télécommunication et d’Internet, ainsi qu’avec les autorités sur les problèmes à venir de la numérisation et de la protection des principaux droits de l’homme et des libertés fondamentales des usagers d’Internet est capitale pour qu’Internet reste – demain comme aujourd’hui – une réussite. Le développement d’une responsabilité numérique suppose une concertation de notre part ».